dimanche 4 août 2013

jalouse et capricieuse (récit fictif)

j'avais été odieuse toute la journée. Par jalousie en plus. Son amie Séverine, qui était venue passer le week end, avait eu toute l'attention de mon chéri avec son attitude de pinup délurée et vulgaire.
Je ne l'ai donc pas épargné le soir, quand gentiment, il m'a proposé que nous allions diner en amoureux au resto.
Boudeuse, j'ai dit que je n'avais pas envie et ai ajouté, "t'as qu'à emmener ta copine Séverine. Ah oui, elle est partie, c'est vrai, je suis ton second choix!" (et paf, contente de moi)

"c'est donc pour ça que tu boudais aujourdhui. parce que je ne me suis pas occupé de toi. Mademoiselle doit être au centre du monde?! Tu sais pourtant bien que Séverine est une amie très chère et que je ne l'avais pas vue depuis longtemps"

"bah si elle est si CHERE que cela, t'as qu'à aller vivre avec!" Je tourne les talons et pars dans la salle de bains en claquant la porte.

Il ne me suit pas. Tant pis. Je vais prendre un bain, sans lui et mz faire ma propre petite soirée.
Après une bonne heure de trempette, j'enfile ma petite robe de coton à fine bretelles que je porte pour dormir car elle est trop courte pour la porter à l'extérieur.

En sortant de la salle de bains , je le vois s'affairant au diner. Comme il est mignon quand il fait des choses pour moi. Ca sent bon. Décidant de ne plus l'embêter je vais pour lui faire un bisou. Il accepte le bisou sur la joue mais m'adresse un regard sévère.

"Je n'aime pas les caprices."
"Ce n'était pas un caprice, je marque mon territoire c'est tout. tu es mon homme à moi, et puis, je n'aime pas Séverine. C'est une écervelée avec des seins refaits. tout ce que je trouve désolant chez une femme"

"tu as dit quoi là à propose de mon amie?"
"que c'était une ecervelée mon chéri."

Très calmement, il a éteint le gaz sous la casserole et s'est approché de moi avec un regard que je connais bien et qui ne vaut rien de bon.

"Cela fait combien de temps que tu n'as pas été recadrée?"
Je baisse les yeux. "ché pas"
"Parle correctement"
"je ne sais pas"
"eh bien trop longtemps à mon gout"
Il me saisit et en un quart de seconde, il a le pied sur la table basse et moi basculée sur sa jambe gauche. Sans attendre, une pluie de claques s'abattent sur mes fesses. La fessée dure très peu de temps, une trentaine de claques tout au plus, mais des claques dures qui font mal.
Je pense quand même m'en tirer à bon compte quand il m'annonce que la suite serait donnée dans la chambre (là où je suis punie d'habitude)

Il s'asseoit sur le lit et me fait signe de me mettre en position. Je rechigne mais son regard parvient à me convaincre qu'il vaut mieux ne pas désobéir.
IL relève ma robe. Comme je sors du bain, je ne porte rien en dessous et mes fesses sont déjà rouges des 30 claques que je viens de recevoir. En plus, une fessée après un bain, ça fait mal.

Il me sermonne et me laisse dans cette position pendant ce qui me parait être un temps interminable. Il sait que je ne suis pas patiente et qu'intérieurement je hurle "mais fesse moi maintenant"
Je sais que cette attente est une punition.

Enfin il commence.

Avec la régularité d'un métronome, il m'administre une bonne claquée. Au bout d'un certain temps, je gigote de douleur et pleurniche comme une gamine. Mais il tient fermement sa position.
Après des milliards de claques (c'est ce que mon derrière a ressenti) je suis envoyée au coin dans la salle à manger, ce qui est très inhabituel. Je me sens encore plus honteuse que d'habitude quand je suis punie de A à Z dans la chambre. Là, j'ai eu le préliminaire dans le salon et je finis en beauté, le cul offert dans la salle à manger, sachant que si quelqu'un sonne à la porte et qu'il ouvre, je serais visible pendant ma pénitence.

Après 15 minutes de piquet, je suis autorisée à m'asseoir à table, cul à même la chaise pour bien continuer à sentir les effets de la correction. J'ai mangé sans piper mot. Lui non plus. J'ai débarassé puis suis aller lui demander pardon.

"je te pardonne mais la prochaine fois que tu te comportes comme cela, je te fesse cul nu devant Séverine, ou mieux encore, dans la rue, c'est compris?"

j'en frémis. Punie devant tout le monde, très peu pour moi.
"oui, mon chéri"
"maintenant file te coucher!" (une claque sur le cul supplémentaire me poussant vers la chambre et me rappelant ce qu'il se passe quand je ne coopère pas)

j'ai obéi. Quelques minutes plus tard, et alors que j'étais allongée sur le lit, robe relevée et sur le ventre, j'ai senti sa main me frotter les fesses pour les apaiser. Il m'a embrassé et je me suis endormie comme une bienheureuse

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