mardi 20 août 2013

embuscade

Le petit malin, mon copain Parisien (Julien) m'a proposé, sachant que je ne travaillais pas aujourd'hui de venir passer la journée dans la maison de ses parents qu'ils occupe en vacances pendant leur absence.

Ayant adoré la fessée qu'il m'a donné hier, j'ai dis oui tout de suite profitant d'avoir un fesseur à proximité, on ne sait pas combien de temps cela va durer. En gros, je prends toutes les fessées que je peux avant qu'il ne s'en aille.

J'ai donc passé l'après midi à me prelasser au bord d'une piscine dans une sublime villa.

Enfin prélassé, j'ai passé pas mal de temps au coin ou sur les genoux de Julien bien sur.

Après midi plutot coquine. J'ai provoqué un peu, pris quelques claques méritées.

Mais le petit Julien, il sait y faire pour me punir. Il sait que je ne suis pas patiente au coin, il m'y a donc envoyée une demie heure pendant qu'il se baignait suite à petite insolence.
Je me suis retrouvée le nez contre un arbre à proximité de la piscine.
Comme je gigotais et que je chouinais que je ne voulais pas rester là, j'ai du baisser le bas de mon maillot et y rester 1/4h supplémentaire!

Quand enfin j'ai été autorisée à me reculotter et à venir me baigner, nous avons discuté de choses et je lui ai parlé du départ de feu que j'avais causé petite sans jamais avoir été punie pour cela.
"et tu veux que je le fasse?"

"ben, ça mérite une très grosse fessée une betise pareille"
"mais ne t'inquiètes pas, ça je sais faire, quand nous sortirons de l'eau, tu vas recevoir ce que tu mérites."

Quand nous sommes sortis de l'eau, il m'a dit d'aller chercher une chaise et de la poser au milieu de la terrasse. Je me suis éxecutée en vérifiant bien le vis à vis des voisins (la déculottée publique, ce n'est pas pour tout de suite, voire jamais)

Une fois la chaise posée, il s'est assis dessus m'a attrapé le bras et allongé sur ses genoux. Je sentais son maillot mouillé, rafraichissant avant que mon dernière ne me cuise.

Il a baissé mon bas de maillot (il fesse à cul nu directement) jusqu'en bas, tant et si bien qu'il est tombé par terre et à commencé sa partition.  Il est allé moins vite qu'hier, laissant chaque claque porter ses fruits. Une fessées les fesses mouillées, ça pique bien!

Clac! ouch! Clac! aie! Clac! Clac, je ne compte pas mais les claques sont assez fortes. Il me dit que mes fesses rougissent à vu d'oeil (jte crois)
Puis il a accéléré le tempo. Ouille, je gémis, gigote, ça fait mal!
Il est plus sévère qu'hier et en même temps qu'il me fesse il me sermonne! "tu n'as pas réfléchis que c'était dangereux de jouer avec le feu? et que tu aurais pu mettre le feu à la maison?"

"j'ai pas fait exprèèès, aiiie, je recommencerais plus promis"
"ah ça je te garantie que non"

et j'ai reçu une looongue correction sur ses genoux.

Séjour au coin, sans bas de maillot resté à terre. Il rentre dans la maison et ressort quelques instants plus tard avec un martinet de bazar, vieux, jaune, que je suspecte à peut être servi sur ces propres fesses enfant.

Viens ici et mets tes mains sur la chaise.
Tu vas recevoir dix coups de martinet pour être sur que la leçon est bien comprise.

Et il m'a fouetté! Dix fois avant de me renvoyer au coin.

Tel que je vous raconte ceci, (mon autre punition était de raconter ceci sur le blog, par contre, je ne mettrais pas de photos de moi, que je préfère garder intimes)  cela fait 3 heures que j'ai reçu cette correction magistrale et il vient de m'annoncer que j'en avais gagné une autre (moins sévère mais bon, j'ai déjà les fesses endolories) pour avoir tardé à le faire.

Je vais donc poser l'ordi, et aller me mettre au coin en attendant la dernière déculottée de la soirée avant de rentrer chez moi! je vous raconterais... un autre jour

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