dimanche 15 septembre 2013

une fessée pour Catherine (récit d'Alain)


Je ne publierais pas tous les récits qu'Alain m'envoie, parceque, ça reste mon blog, mais je trouve qu'il a beaucoup de talent pour narrer les mésaventures des fesses de ses copines alors j'en partagerais de temps en temps ;) 



Pour une fois que ce ne fut pas Sylvie qui paria et perdit, ce fut Catherine, une collègue qui elle aussi joua à « qui perd gagne » et gagna une bonne fessée …
Catherine L.., fut ma collaboratrice de 1989 à 1993, une ravissante blonde aux formes pulpeuses, mais si elle passait des marchés fructueux pour la société où tous deux travaillions, la rédaction de ses devis et leur suivi aussi, laissaient parfois à désirer, si bien qu’à force de lui en faire la remarque, elle me lança ce défit :

C : « à croire que je mériterais de temps en temps une fessée pour mes étourderies !»

depuis ces paroles, la fessée revenait de temps à autre dans nos conversations et l’éventualité d’en recevoir une, n’effrayait pas la ravissante Catherine qui, avec une bonne paire de fesses potelées comme pouvait en témoigner le tissu tendu de ses jupes, avait bien de quoi l’amortir, même éventuellement jupe retroussée, à ses dires, car si j’y arrivais, je n’en perdrais pas la vue précisait-elle en éclatant de rire !!!

C : « avec mes jupes moulantes, je te mets au défit de me fesser jupe retroussée ! »

si je gagnais, Catherine serait fessée et si je perdais, je devais lui offrir une glace aux cerises ...
quelques jours après la reprise des vacances de l’été 1991, Catherine au cours du déjeuner me rappela notre enjeu, regrettant de n’avoir pu manger une glace ... mais ni elle, ni moi, n’avions gagné ou perdu le pari … sa réponse m’étonna car elle suggéra que puisqu’il n’y avait ni vainqueur ni perdant, tout le monde avait donc gagné … elle recevrait donc la fessée, une bonne fessée classique, jupe retroussée et dégusterait ensuite sa glace pendant la pause de midi ... le lendemain, nous décidâmes donc de nous retrouver dans la salle des archives, une fois tous nos collègues sortis pour déjeuner … à midi, une fois tout le personnel parti, je montais aux archives où Catherine m’y attendait ... ces archives occupaient une grande pièce sans fenêtres que divisaient plusieurs rangées d’étagères remplies de classeurs et de boîtes à archives ... une fois tous deux à l’intérieur, Catherine verrouilla la porte, derrière nous :

C : « Je veux bien que nous rigolions tous les deux, mais je ne veux pas en faire profiter tout le monde, alors jure-moi que tu n’en parleras à personne »

je n’en avais nullement l’intention et lui promettais un silence tombal … pour l’occasion Catherine s’était vêtue de façon classique : chemisier clair, jupe foncée à plis, collant chair opaque et escarpins noirs …

C : « et tu n’as pas encore tout vu !!! »

je m’assis sur l’unique chaise disposée au milieu des étagères et Catherine s’avança vers moi, mains croisées dans le dos, un sourire coquin aux lèvres …
C : « allez … fesse-moi … quand cela suffira, je te le dirai … une bonne fessée jupe retroussée !!! »
sans perdre une minute, Catherine s’installa et s’allongea à plat ventre en travers de mes cuisses se tenant d’une main à l’un des pieds de la chaise et de l’autre à l’une de mes jambes de pantalon … la ceinturant fermement par la taille de mon bras gauche, je pris le temps de retrousser lentement la jupe de cette « effrontée », glissant ma main droite le long de ses mollets, jusqu’à la jointure de ses genoux, puis passant ma main sous sa jupe, je remontais le long de ses cuisses, jusqu’aux hanches et rabattant le tissu au dessus de la cambrure de ses reins, j’eus l’agréable surprise de constater que Catherine portait certes un collant bien opaque, sans démarcation et que sous ce collant, elle ne portait pas la moindre petite culotte et malgré l’opacité du collant  ses fesses potelées et nues, ainsi que la fente qui les séparait comme un fruit bien mûr, apparaissaient comme en plein jour ; elle éclata alors de rire en m’annonçant qu’elle m’avait bien eu et regrettait que si moi je pouvais plus que deviner ses fesses, elle était un peu déçue de ne pas voir ma tête !!!

A : « je trouve bien dévergondée et je vais tout faire pour ne pas te décevoir !!! »
pour toute réponse, je vis ses fesses se contracter sous le nylon du collant et je commençais à la fesser énergiquement, d’une fesse à l’autre, histoire pour ne pas faire de jalouses, les claques données par la paume de ma main droite rebondissant d’un globe à l’autre, les claquant à cadence rapide, ma main tombant à plat sur le derrière tendu vers moi, la trace de mes cinq doigts s’imprimant sur la fesse qui venait d’être corrigée et malgré le collant opaque, je voyais leur couleur rougir à vue d’œil !!!
ma main continua à tomber en cadence, d’une fesse sur l’autre … entre chaque claque, son derrière de Catherine, contracté dès les premières claques, se tendait vers la claque suivante et la main qui le corrigeait, qui en tombant bien à plat sur le tissu tendu, le faisait tressauter  … le bruit sec des claques résonnait dans la pièce close et pour chaque claque donnée et reçue, Catherine faisait un commentaire « aïe … celle la elle fait mal …ouille … mais ça chauffe » tout en repliant en bloc ses deux jambes sur ses cuisses … mais au fil des minutes et des claques sur une croupe de plus en plus rouge, Catherine cessa ses commentaires, la cadence de la fessée s’accélérant, je l’imaginais, serrant les dents, car je la voyais serrer les fesses sous le collant depuis quelques minutes et elle commençait à battre l’air des jambes dans tous les, perdant même ses escarpins, se tortillant en espérant pouvoir échapper aux claques, ses jambes, ses fesses et sa queue de cheval battant l’air en cadence … la rougeur des fesses tranchant sur l’opacité du collant gainant cuisses et jambes !!! soudain, elle cria grâce :
C : « Arrête s’il te plaît, arrête, je n’en peux plus, mes fesses sont en feu !!! »
Je respectais la règle du jeu, je m’arrêtais et Catherine ne perdit pas de temps pour se relever et après avoir récupéré et remis ses chaussures, elle me fit face, se frottant énergiquement les fesses à deux mains sous la jupe … j’avais gagné mon pari, c’était à son tour d’avoir le sien et de nous rendre au restaurant pour qu’elle y déguste une glace aux griottes, dont ses fesses devaient avoir, je suppose, la même couleur !!!

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