dimanche 1 septembre 2013

Sévère fessée pour fiancée peu sage (contribution d'Alain)

cette première fessée qui rendit Sylvie plus prudente, surtout en paroles, la discipline « conjugale » (alors que nous n’étions même pas encore mariés, seulement fiancés) devint rapidement un jeu entre nous ;
à la moindre faute, au moindre caprice, Sylvie se retrouvait sur mes genoux, jupe retroussée
sur ses collants et sa « petite culotte » et aussi en bas qu’elles portaient uniquement dans notre appartement !!!


un été, nous rendant par la route de Nancy à Limoges, nous disputâmes sérieusement et lorsque nous arrivâmes à l’appartement de ses parents, heureusement absents,  j’annonçais à Sylvie, qu’il avait trop longtemps qu’elle n’avait pas reçu une bonne fessée (plusieurs semaines en fait) ; les yeux dans les yeux, elle m’affirma que mes fessées ne l’impressionnaient pas du tout !!!

sans la prévenir et à sa grande surprise dans les longues minutes qui suivirent, je lui annonçais que j’allais changer les règles du jeu de suite ; avisant le canapé du salon tout proche, je m’y installais et lui ordonnais de venir de suite s’installer sur mes genoux, ce qu’elle fit sans discuter, à ma grande surprise cette fois ; une fois en place à plat ventre en travers de mes cuisses, je lui retroussais sa robe d’été, mais cette fois passais ma main sous l’élastique de sa culotte et la déculottais généreusement jusqu’à mi-cuisses ; ma chère et tendre allait connaître la fessée jupe retroussée et déculottée, « cul nu » comme une salle gamine  …


une fois en position et en tenue, le derrière à l’air et bien exposé sous mes yeux, elle ne fit aucun geste pour se dérober, mais un seul commentaire,  « oh !!! » …  je ne sais s’il était d’étonnement, de honte ou de joie …

la fessée crépita dans l’appartement, en cet été de juillet 1980, volets étaient fermés, mais fenêtre ouverte, au premier étage d’un immeuble donnant sur rue principale ; les claques crépitaient encore plus vite et plus fort sur les fesses nues qui dès le début se contractèrent fermement pour au bout de longues minutes devenir moins fermes et tressauter dans tous les sens ; battant des jambes, mais visage enfui dans les coussins du canapé que Sylvie par orgueil féminin devait certainement mordre à pleine dents pour contenir la douleur d’un derrière de plus en plus rouge et brûlant  !!!

enfin je décidais de cesser la fessée et je vis ce derrière laiteux qui jusqu’à présent rougissait, devenir écarlate … et y posant la main bien à plat je le sentis brûlant !!!

Sylvie resta ainsi de longues minutes,  fesses à l’air dans la chaleur de l’été et de la fessée…

les vacances d’été commençaient pour Sylvie avec un sérieux coup de soleil sur les fesses !!!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire