mercredi 24 juillet 2013

punition bien ordonnée commence par .. une fessée (Recit fictif)

Je l'avais cherchée, je le sais. Mais j'avais envie de m'amuser. Il faisait beau, doux, nous nous promenions seuls dans les bois de mon enfance, où je faisais les 400 coups avec mes copains.
Il était d'une drôle d'humeur cependant et cela m'agaçait. Après tout, si c'était pour faire la gueule, il n'avait qu'à rester à la maison.

- " qu'est ce que tu as chaton? tu fais la tête depuis tout à l'heure?"
- " je n'ai rien et arrête de me poser cette question!"

Il est vrai que tout le long du trajet en voiture, depuis notre départ de Paris vers chez ma mère en province, je l'avais un peu chahuté sur sa mauvaise humeur. Mais quand j'avais proposé, après le déjeuner, d'aller faire une balade en forêt, il semblait plutôt enjoué (j'avais bien sur, une idée derrière la tête)

- " si tu fais la gueule, t'es chiant!" (pure provocation, je le savais, il déteste quand je lui parle comme ça)
- " Ne me parle pas comme ça!"
- " Je suis obligée puisque si je n'attire pas ton attention, tu ne dis rien, et se balader avec un mur n'a rien de drôle en ce qui me concerne. Donc je le répete, t'es chiant!"

une claque vient s'abattre sur mon fessier, me prenant par surprise.
"je viens de te dire de changer de ton!"
Son regard en dit long, il est plus qu'agacé, mais je m'en fiche.
" tu sais quoi, tu m'emmerdes" dis-je en m'eloignant de lui (il déteste quand je suis vulgaire, mais je sais que je touche au but et que bientôt ma culotte sera sur mes chevilles, et mes fesses écarlates)

Il m'a vite rattrapée. Là, il était en colère. Il m'a attrapée par le bras, baissé mon short et ma culotte jusqu'au chevilles et mise au "coin" contre un arbre en me disant " attend ici, je reviens"

-" mais tu es fou, si quelqu'un arrivait, je ne peux pas rester comme ça"
- " il n'y a personne ici et quand bien même, qui passera verra que tu es punie comme tu le mérites, sale gamine"

Pour attiser un peu plus sa colère, j'ai remonté culotte et short tout en restant le nez collé l'arbre. Quand il est revenu et qu'il a constaté mon effronterie, il a dit:
- " je vois que Mademoiselle a décidé d'être pénible aujourd'hui, très bien, c'est une grosse correction que tu veux, c'est ce que tu auras, viens ici!"

Je me suis approchée de lui, faussement pénitente.

- "baisse ton short et ta culotte" (il sait que je n'aime pas me déculotter moi même)
j'obéis tout de même. Me voilà fesses nues, au milieu des bois avec mon chéri assis sur un arbre couché. Il me prend par le bras et me couche sur ses genoux.

-" d'habitude, je préfere te chauffer les fesses sur le short d'abord pour ne pas que la fessée soit trop rude, mais là vu ton attitude, tu la prends cul nu tout de suite!"

et il a commencé... CLAC CLAC  CLAC  CLAC  CLAC  CLAC  CLAC  CLAC  CLAC  CLAC mes fesses sont déjà endolories. Il fesse fort quand il est très très en colère.
A la maison, même quand il me puni, il y a une grande douceur dans sa façon de faire. Le résultat est le même, j'ai les fesses en feu mais c'est supportable.

Là, je prends une bonne correction. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais je pleurais à chaudes larmes quand il s'est arrêté.

-" retourne te mettre au piquet contre l'arbre, et que je ne te vois pas frotter tes fesses!"

J'y vais, tout en pleurnichant comme une sale gamine qui vient d'être punie.

Quelques minutes plus tard, j'ai senti sa main sur ma fesse gauche...
- " elles sont encore chaudes, c'est bien. tu l'avais méritée celle là" (je les mérite tout le temps)
A ce moment là, j'espère que mon calvaire est terminé et que je vais avoir un gros calin alors je me blotti dans ses bras. Il me repousse.

-" ce n'est pas fini! ton attitude laisse à désirer en ce moment, alors je veux marquer le coup"

je le regarde en l'implorant

-" va poser tes mains sur le tronc"
dans cette position, je sais que je vais être fouettée avec sa ceinture et cela ne me réjouis pas mais je n'ai d'autres choix que de transporter mes fesses déjà punies vers leur triste sort.

Sauf qu'il m'a surpris en m'administrant une fouettée avec une badine qu'il est allé cherché lui même. Ouille ouille ouille, c'est horrible.

Après 25 coups,il a jeté la badine.

-" c'est fini! viens dans mes bras.!" Il m'a calinée tout le temps ou je pleurais, de repentance, de douleur, de bonheur..

Nous sommes ensuite rentrés chez ma mère, qui me voyant m'asseoir bizzarement a lancé un clin d'oeil à mon homme pour lui signifier qu'il avait bien fait.

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