jeudi 25 juillet 2013

à la main ou au martinet?

Je suis ouverte à tout. Je suis quelqu'un d'assez curieux et aime tester plein de choses. Evidemment, cette curiosité s'étend à la fessée.

J'avoue, comme beaucoup certainement, préferer la prendre à "l'ancienne", allongée sur ses genoux, lui me fessant méthodiquement avec ses mains .
Mais de temps en temps, et lorsque mon comportement est tellement odieux que je mérite un peu plus, j'avoue que les instruments me "parlent". Enfin, pas tous.

La brosse à cheveux. Beurk! très bien pour vraiment me punir, j'ai horreur de ça. Je la redoute, la hais et me sens toute petite face à la douleur qu'elle procure
La spatule, idem, je ne suis pas fan, sauf dans le cas d'un rappel à l'ordre dans la cuisine. Deux/trois coups suffisent pour me rappeller que je peux finir cul nu très vite

La ceinture: j'avoue que je suis assez fan. Allongée sur des oreillers sur le lit ou courbée sur le dos du canapé, j'aime la recevoir mais seulement après une fessée manuelle qui aura préparé mes fesses

Le martinet. Lui procure une sensation de régression absolue, quand il pendait un peu partout dans les maisons du village de campagne ou j'ai grandi. ma menace perpetuelle du "chat à 9 queues" sur les cuisses ou les fesses.... ses souvenirs sont très émoustillants....

En fait, je suis plus cuir que bois je pense...

L'usage de l'instrument intervient généralement (enfin, c'était le cas pour moi avec mes fesseurs) en complément d'une fessée punitive. Il transforme l'essai en d'autres mots. Je me souviens que la première fois que Peter en a utilisé un, il venait de me corriger particulièrement sévèrement.
La fessée était pour nous un jeu la plupart du temps, mais j'avais accepté qu'il l'utilise comme discipline de couple.
Bref, je ne me souviens pas de la bêtise, mais de la fessée oui. Une classique, jupe, culotte, cul nu.  Il m'avait chauffé les fesses un moment et j'avais fini par pleurer, le suppliant d'arrêter. Il ne m'a pas écouté et m'a puni longuement avant de m'envoyer au coin.

 A l'issue de ma pénitence au coin, quand il m'a rappelé et que je me suis retournée, je l'ai vu avec sa ceinture à la main me faisant signe d'aller m'allonger sur le lit pour recevoir la suite.. J'ai supplié, en vain, lui disant que je ne le supporterais pas. Il n'a rien entendu et m'a dit que si je ne voulais pas doubler la mise j'avais interet à venir m'allonger docilement.
J'ai pleuré de longue mais j'ai été étonnée de l'effet cathartique qu'ont eu ces coups de ceinture. Il m'en a donné 10, rien en fait mais, même si la douleur était là, elle était appréciable.

Je ne suis pas sure cependant d'apprécier un instrument sans avoir été "chauffée" préalablement

Qu'en pensez vous?.


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