on est jamais mieux servie que par soi même

Je me suis longtemps tatée avant de créer un blog réservé à un sujet que j'adore. Mais force est de constater que nous sommes plusieurs à aimer se faire fesser comme des gamines alors je me suis dit qu'il fallait enrichir le paysage encore un peu plus et agrandir la communauté.
Pour ce premier post, je vais me présenter, puis, par la suite, soit j'y posterais des récits, soit des topics spécifiques. Je ne maitrise pas encore blogger mais j'aimerais en faire un blog participatif , où vous pourrez apporter vos opinions, vos envies, vos récits et experiences.
Il n'y a qu'une seule règle, ici on ne se la raconte pas. La philo de comptoir est réservée à d'autres adeptes qui peuplent certains sites français (et un en particulier) qui se permettent de donner leur opinion, parfois, (souvent) erronée, de mnière méprisante et qui se prennent pour des spécialistes alors que ce ne sont que des adeptes comme les autres. C'est dommage car ce site a une réelle utilité.
 Ici on ne se critique pas, on partage. J'effacerais tout commentaire déplacé.
Vous pouvez m'envoyer vos photos et recits ou ce que vous voulez à hermioneculnu@gmail.com

Alors, comment m'est venu ce gout de la fessée. Eh bien d'un manque en fait.  Petite, je n'ai reçu qu'une seule fessée par ma grand mère après avoir fait une fugue d'une heure. A mon retour, et sur la place du village ou tout le monde me cherchait, je me suis promptement fait déculotter par ma grand-mère et fessée très fort devant tout le monde. avec mise au coin cul nu sous le préau de la mairie ou tout le monde s'est fendu de son petit commentaire.

Mes parents ne fessaient pas, malgré mes moultes tentatives d'attirer leur attention. Leur punitions se résumaient à aller au coin.

A l'école déjà, c'était un peu plus fun. Mes fesses ont été claquées maintes et maintes fois pour diverses trangressions. Souvent sur le pantalon mais de temps en temps fesses nues, dans le bureau du directeur pour les grosses betises. Lui, il avait une paddle à la place de la main alors quand la culotte tombait, on le sentait passer.

Et puis après, au collège, plus rien... lycée, fac... et puis un jour au début de la vingtaine, j'ai rencontré aux etats unis un homme de mon age avec qui je suis sortie un moment. Un soir, il m'a raccompagné chez moi, et a constaté un certain désordre (je suis bordelique) et il a suggeré que cela méritait une fessée. Je lui ai dit qu'il pouvait me la donner et il l'a fait. il m'a basculé sur ces genoux, claqué le derrière sur mon jean, je rigolais,  puis m'a relevé et m'a ordonné de baisser mon pantalon. Tetanisée, j'ai mis du temps, ma lenteur m'a valu une bonne série de claques bien fortes. Mais la sensation la plus géniales, c'est quand il a baissé ma culotte. Alors que j'avais mal, je me suis surprise à l'"aider" en rehaussant mon postérieur pour qu'elle descende plus facilement. Il m'a ensuite administré une bonne fessée déculottée me laissant totalement pantelante mais ravie. Pendant les 2 ans où nous étions ensemble, j'ai été comblée régulièrement. Depuis j'y suis accro comme une junkie.

je suis célibataire en ce moment et n'ai pas de fesseur attitré ce qui me manque terriblement. Heureusement, mon imagination prend souvent le dessus pour compenser. Je m'invente des situations qui me font fantasmer comme une fessée au bord d'une piscine, une fouettée de badine dans la forêt, bien sur la classique punition pour diverses transgressions à la maison qui, avec Peter (nom modifié) me valait d'être envoyée au piquet, pantalon et culotte au genou (ou robe relevé, selon ce que je portais) à attendre le verdict.

Comme beaucoup, j'aime quand j'étais allongée sur ses genoux et qu'il me fessait à la main. Mais il lui arrivait d'être plus sévère pour les grosses betises et la brosse, ainsi que ma ceinture ont été souvent de sortie après un premier échauffement manuel.

En terme de position, sur les genoux, sur le lit, sous le bras (j'adore celle ci, elle est rapide et génère une émotion intense. Il m'attrapait, me courbait, me mettait cul nu et me donnait seulement une vingtaine de claques qui surprennaient mais qui étaient si bonnes, en plus généralement, quand je recevais ce warning, c'est que mon comportement était borderline, alors la fessée d'après était généralement sévère!)

Quand aux instruments, j'aime le cuir mais pas trop le bois. et les mains les mains les mains

Le coin? Mouais.. je me souviens quand mes instit me disaient "au piquet" cela me donnait des papillons dans le ventre. Je ne suis pas très patiente donc m'envoyer au coin pour plus que 10 minutes c'est risquer que je redevienne vilaine et devoir me corriger encore une fois ;) mais cette pause méditation fait du bien en fait. Cela dit, je préfere y être envoyée avant. J'aime l'attendre fesses nues et offertes et l'entendre arriver avec son "viens ici"

Et les vetements? j'aime apporter une difficulté complémentaire en mettant un pantalon... Parfois, avec Peter, si j'avais reçu un warning sous le bras, je devais enlever ma culotte et rester fesses nues pour, selon ses dires "qu'il puisse accéder à mes fesses plus facilement" si je continuais mon insolence.

Par contre, j'ai la malchance de ne pas rougir facilement, ce qui me vaut de long sessions car les fesseurs m'ayant fessée sont souvent frustrés de ne pas obtenir un résultat coloré rapidement.... Mais bon, il ne faut pas les plaindre les fesseurs non plus.

et vous?