Nous avions décidé de sortir dans une boite branchouille (imaginez New York, fin des années 90, musique pop de l'époque... mais je m'égare)
Bref, les cocktails fusaient, nous dansions et à la fermeture des portes de la boite (1h30 à NYC si si!) la question du retour à la maison s'est posée. C'est moi qui avait la voiture pour nous 3 et en grande écervelée, je n'ai pas du tout levé le pied sur ma consommation d'alcool.
J'ai ramené les filles sans encombres et sans rencontrer de voiture de police sur la route. Non, la police était à la maison.
Je devais sentir l'alcool car quand je me suis vautrée (si c'est le terme) sur le lit, je me suis fait expédier à la douche direct par mon Peter pas ravi de me voir dans cet état là.
Puis, comprennant bien que m'engueuler à ce moment précis ne serait pas forcémment efficace, il m'a laissé cuver jusqu'au lendemain.
Au réveil par contre....
Dieu merci la formule magique Alka Seltzer avant de me coucher avait fonctionné et je ne me sentais pas trop mal. Enfin, j'allais me sentir mal quelques secondes plus tard quand entrée dans la cuisine, j'ai vu la tête de mon chéri. Point besoin d'explication, j'ai compris de suite.
Silence...
"après le petit déjeuner on a un problème à régler, je vais courir" (oui, c'est ça, va te défouler, ça sera toujours ça en moins comme claques sur mon cul)
Quand il est rentré, j'avais tout bien débarassé dans la cuisine et ayant conscience de la grosse betise que j'avais faite me suis dit que je n'allais pas lutter contre l'inévitable punition que j'allais recevoir.
et je l'ai eu.
Pantalon de pyjama baissé, sur les genoux, une grande classique. Je me souviens que j'étais dans l'acceptation que je devais être punie et même si j'avais mal, j'étais quand même bien. Il me sermonnait de longue et je ne bronchais pas. Je me contentais de recevoir les claques.
Après une séance au coin et une autre claquée à la ceinture cette fois ci, il m'a punie toute la journée. Consignée à la maison alors qu'il faisait beau pendant que lui est sorti faire je ne sais plus quoi avec ses potes.
Elle reste au Panthéon des plus sévères mais des plus salvatrices déculottées que j'ai reçu à ce jour.
Tiens, je connais cette photo... J'y ai ajouté des rougeurs qui n'y étaient point à l'origine.
RépondreSupprimerIl me semble avoir déjà vu cette image, d'&autant que les fesses étaient à l'origine bien moins rouges que ça... et que c'est moi qui les ai rougies, malheureusement de manière fictive.
RépondreSupprimerdésolée, j'avais trouvé plusieurs photos sur google images et divers sites que j'ai sauvegardées dans un dossier pour le blog. je vais la changer :(
SupprimerMais ça veut dire quoi de manière fictive? photoshop?
a bientot ;)
oui, évidemment. Mais pour autant, vous pouviez la laisser, hein. Je ne suis pas propriétaire des images que moi même il m'arrive de bidouiller...
RépondreSupprimerje l'ai gardée alors je la mettrais sur un autre post ;)
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