mardi 31 décembre 2013

Bonne année

Coucou à tous,

Je vous souhaite une année riches en émotions, pleine de fessiers rougis et bien sur bonheur, santé, amour. 

Hermione

vendredi 6 décembre 2013

fessée plaisir

Je la voulais sensuelle, érotique, apaisante...
Cela faisait à peu près trois semaines que Jimmy et moi ne faisions que nous croiser. Je travaille beaucoup, lui aussi, et pour couronner le tout, pas les mêmes jours. Le soir nous avions un programme très original, manger, coucher. 
Sentant la frustration monter en moi (et en lui) j'ai décidé de prendre une récup de dimanche travaillé immédiatement (mon boss a moyennement aimé mais je m'en fiche) aujourd'hui et lui ai demandé d'essayer d'avoir sa journée. Il a réussi à négocier de travailler depuis la maison, c'est déjà ça. 
Bref.
Je nous ai préparé et apporté un petit déjeuner au lit que j'avais concocté avec les meilleurs soins qui soit puis, en nuisette, je me suis re-glissée sous la couette avec lui. Ce moment de douceur nous a fait un bien fou. 
Après le petit dej, je me suis occupée de tout ramener à la cuisine en le laissant se reposer au lit mais quand je suis revenue, j'avais plusieurs idées en tête sur comment nous allions occuper la journée, et ce n'était pas forcémment à l'exterieur. 
J'avais envie de lui, d'une fessée érotique qui me provoquerai des émotions intenses, de sentir son corps, ses mains. J'avais envie d'un vrai moment érotique. 
Il étais assis sur le lit quand je suis revenue, torse nu avec son bas de pyjama qui le rend si sexy. Je me suis placée devant lui, j'ai oté ma nuisette et suis restée devant lui avec juste un shorty en dentelle.  Il savait ce que je voulais. Il l'a embrassée sur le ventre (j'adore ça) puis a saisi l'élastique de mon shorty et l'a baissé doucement jusqu'à mes chevilles pour me l'enlever. 
Il m'a délicatement basculée sur ses genoux puis a commencé cette délicate alternance de massage, caresse et fessée. Nous n'avons pas eu besoin de parler, la communication se faisait seule, par nos corps. 

au terme de la fessée, j'étais au paroxysme du plaisir et n'avais plus besoin que d'une chose, qu'il me prenne immédiatement.... 

mercredi 4 décembre 2013

Ho Ho Ho.. Merry Christmas

Je n'ai que très peu de temps pour vous raconter mes betises et leurs conséquences en ce moment à cause que je fais un métier très en lien avec ce que vous aurez sous le sapin si vous êtes sages... 
Tellement je travaille, je n'ai même pas une minute à accorder à mon père fouettard (mais il se rattrapera en temps voulu, je ne minquiètes pas...) 

en attendant, soyez sages... 


jeudi 21 novembre 2013

j'ai trouvé ça sur le net, ça ressemble à JP Color... 

ou à moi quand je ne suis pas sage;) 

bon week end à tous

dimanche 17 novembre 2013

punie pour bêtise aggravée

Haletante, pantelante, faisant des petits bonds en me prenant les fesses dans les mains (comme si cela changeait quelque chose) criant aie, ouille dans tous les sens, pleurant de douleur, vexée, punie, bien punie. 
Voilà comment a commencé ma soirée hier. 
Je comprends sa colère et la fessée (très) punitive que j'ai reçu hier soir, je l'ai 100 fois méritée, tout autant que mon assignation à résidence ce week end et la seconde fessée de rappel que je vais avoir ce soir, pour être sur que le message est passé. 

Voyez vous, je travaille beaucoup. je suis une career girl et je multitask en permanence pour gagner du temps. Je suis le cliché sur pattes de la working girl américaine. 
Bref, vendredi, alors que j'étais en déplacement pro, j'ai reçu un texto urgent alors que je conduisait et moi bécasse j'y ai repondu sans m'arrêter manquant, au passage d'avoir un accident. De surcroit, je suis tellement fatiguée que mon jugement en est faussé. Jimmy m'avait déjà grondée à ce sujet, en me disant que je devais prendre plus soin de moi et me reposer plus.

Rongée par la culpabilité, je n'ai pu m'empêcher de lui raconter! Il était furieux! Je comprends, il a raison, c'était de la bêtise pure et j'aurais pu tuer quelqu'un d'autre. 
Nous avons décidé ensemble que je méritais une punition exemplaire afin de ne pas recommencer. 

Il a muri la chose vendredi soir et a attendu hier pour m'annoncer le contenu de ma sanction

200 lignes, "je ne dois pas utiliser mon téléphone au volant"
Privée de sortie tout le week end afin de me reposer
Une fessée punitive qui inclu la traditionnelle fessée à la main, très sévère cette fois ci sur ses genoux, 20 coups de brosse et 20 coups de martinet
45 minutes au coin pour méditer
Une seconde fessée à la main le lendemain, que je devrais demander moi- même pour être sur que j'ai bien compris la leçon. ('estime toi heureuse que je ne te fesse pas une fois par jour pendant une semaine")

Quand il m'a annoncé cela, j'étais séchée. J'ai essayé de marchander pour juste une fessée pas d'instruments) en argumentant qu'il ne s'était rien passé et que
j 'avais avoué ma faute sans lui mentir. Rien n'y a fait.
Résignée, j'ai accepté ce mauvais moment mérité.

Mes fesses m'en brulent un peu encore, et ce week end m'a effectivement permis de méditer sur l'importance du repos. 
Il est 17h20, dans 40 minutes je devrais aller poser une chaise au milieu de la pièce, baisser mon pantalon de survetement et ma culotte pour recevoir la fin de ma punition.  


mardi 12 novembre 2013

provocation

j'aime parfois m'habiller de telle façon que cela le provoque... ça marche la plupart du temps d'ailleurs. et vous? 

dimanche 3 novembre 2013

a utiliser sans modération


la plénitude de l'instant

bon, j'ai été un peu hard avec vous la semaine dernière mais vous ne vous imaginez pas le nombre de mails hallucinants que je reçois de personne qui se la racontent un peu trop. 
J'espère que je n'ai blessé personne. 

Rendez vous compte que je n'avais pas été fessée depuis le 19 octobre. 14 jours sans avoir mes fesses rougies. 
C'est en fait que j'étais punie de fessée. Jimmy me trouve trop gourmande et m'a donc privée de voyages en travers de ses genoux.

Bon cela ne l'a pas empêché de me punir pour mes bêtises habituelles (au coin, culotte baissée j'ai passé du temps) mais pas de correction. 

Jusqu'à hier soir! 
J'avais oublié de lui dire que je ne dinais pas à la maison. Le pauvre il avait préparé un super diner pour que je puisse me relaxer (je travaille le samedi) après une dure semaine. Sauf que j'avais prévu de diner en ville avec une amie et j'étais sure de lui avoir dit. 

Il m'a téléphoné à 21h, inquiet de ne pas me voir rentrer. 
"Loulou, je suis avec Delphine souviens toi"
"tu ne me l'avais pas dit"

"mais si"
"mais non" 
(peut être à t'il raison en fait)

Après m'être excusé et lui avoir promis de ne pas tarder j'ai repris mon diner avec ma copine sans m'inquiéter, il n'avait pas l'air si agacé que ça.

Quand je suis rentrée à la maison, je me suis re-excusée de l'avoir fait attendre et d'avoir préparé tout un diner pour rien. Il m'a embrassé et m'a dit

"je sais que tu es désolée mais tu vas devoir payer les conséquences de ton étourderie"

Je m'attendais à une séance au coin et des lignes, vu que c'était le type de punition du moment, mais quand il m'a emmené dans la chambre, j'ai compris ce qu'il allait se passer. (un peu à ma grande joie, je l'avoues)

"baisse ton pantalon, et ta culotte et viens ici"
 j'ai obei, promptement

La fessée en elle même n'était pas si dure que cela. Après tout, ce n'était pas une grosse bêtise mais cela m'a fait tellement de bien, d'être là, déculottée, sur ses genoux à recevoir des claques qui m'ont réchauffées et sentir sa main s'occuper de mon cas. 

C'était parfait! La plénitude absolue




jeudi 24 octobre 2013

Vinomédia

Doumik (fesseur et coach en région parisienne) a deux invitations à donner pour le salon Vinomedia de ce week-end à Issy-les-Moulineaux. Ceux que cela intéresse peuvent le contacter par mail coachperso@aliceadsl.fr ) 

mardi 22 octobre 2013

A lire sur le blog D'Amandine

Je parlais de ce sujet avec un d mes visiteurs récemment. 
C'est un sujet central à l'appréciation de la fessée et Amandine a, à mon sens, une vision très juste.

samedi 19 octobre 2013

le prix du mensonge


Après une journée d’assignation à résidence (je n’ai pas été bosser car fatiguée donc pas question de sortie) Jimmy m’a appelé vers 18h pour me dire qu’il était à 5mn de la maison et que je devais me préparer à ma punition.
Dans ces cas là, je dois baisser pantalon et culotte jusqu’aux chevilles, et me mettre au coin cul nu, les mains sur la tête en attendant qu’il rentre. Et pas n’importe quel coin. Celui qui se trouve directement devant l’entrée, comme ça il y a un risque quand il ouvre la porte, que si un voisin passe, il me voit déculottée le nez au mur. Jimmy fait attention à ce que cela n’arrive pas je le sais, mais c’est une partie de la punition de penser que je peux être vue comme ça.

Je l’ai entendu refermer la porte derrière lui, poser ses affaires et me dire « alors jeune fille,  on a un compte à régler il me semble »

Il est allé dans la chambre et m’a ordonné de l’y rejoindre.
Là, comme d’habitude quand la fessée est éducative, il me prend les deux mains, me force à le regarder et à lui dire pourquoi je vais être punie.
Aujourd’hui la bêtise est grave car j’ai menti.

Il me dit  comprendre pourquoi j’ai fait cela mais que cela n’excuse pas pour autant mon mensonge.

 Il  a raison. 

Il m’avait annoncé au téléphone dans la journée, une fessée plus le martinet. Il a changé d’avis, trouvant que le martinet c’était un peu too much pour cette occasion et qu’il voyait bien que j’étais désolée.

Il m’a ordonné d’oter mon pantalon et ma culotte puis, il m’a allongée sur ces genoux, buste sur le lit et a commencé la fessée qui  a duré dix bonnes minutes, entrecoupées de caresses d’apaisement et de sermons. J’étais dans l’émotion, de lui avoir menti et d’être punie donc j’ai pleuré rapidement. 
Il a été intransigeant et m’a fessée correctement. J’ai reçu quelques rafales bien douloureuses lors de cette fessée qui m’a pourtant fait du bien.


Pour demain, je dois faire une petite rédaction sur le sens de ma punition et de la leçon que j’en tire. Ce soir, je suis consignée dans ma chambre non pour la privation (la preuve, il me laisse mon ordinateur et internet) mais pour que je puisse réfléchir.

Même punie, je me sens incroyablement aimée.

Coaching privé

Un internaute qui lit mon blog, m'a parlé de coaching privé.  Perso, j'adhère à cette idée car ce que fait Jimmy avec moi en est relativement proche

Selon sa description  "Le coaching privé directif part de l'idée qu'être adulte n'est pas être irresponsable mais assumer les conséquences de ses actes et de ses comportement, mais aussi de ses insuffisances. Certains adultes ressentent le besoin d'être cadrés et encadrés (bref coachés) pour certaines choses ou certains projets, y compris par les méthodes les plus traditionnelles. Ils ont le potentiel pour réaliser certains projets mais ne les ont jamais réalisés ou jamais jusqu'au bout parce qu'il n'ont pas la méthode ou la volonté pour y arriver seul. Le projet est choisi par le ou la coaché(e) selon son désir : arrêter de fumer, ne plus être en retard, être plus organisé(e), apprendre une langue, perdre du poids, mieux gérer son budget, arrêter la procrastination, etc... Il y a discussion avec le coach qui fixe des objectifs, donne des conseils, des consignes et des échéances. Les partenaires se voient aux échéances et la coach contrôle l'avancement des choses, fixe de nouvelles consignes et de nouvelles échéances et puni si il y a lieu en adaptant les punitions aux fautes et aux fautif(ve)s. La fessée, les pensum, les restrictions ou les obligations font parties des punitions."

Je suis fessée par mon chéri mais quand je l'étais pas un fesseur extérieur c'était dans le but d'améliorer mon comportement et d'être punie pour mes transgressions. Aujourd'hui c'est Jimmy qui s'en charge, l'amour en plus et si certaines fessées sont plutôt érotiques, et je les adore, la majeure partie me sont données comme punition. 

Il est en région parisienne, donc si certain(e)s d'entre vous souhaite le contacter et travailler avec lui, envoyez moi un mail, je lui transmettrais.

dimanche 13 octobre 2013

la fessée d'Auguste

il m'en parlait depuis un moment. Il souhaitait que nous fassions la rencontre d'un autre couple où la compagne est fessée par son homme pour que nous puissions "jouer" ensemble. Je n'étais pas très chaude pour cette idée mais pas complètement fermée non plus.

Et puis, il  y a une semaine, nous avons fait la connaissance et d'Auguste et Caroline. Sensiblement de nos ages respectifs. Nous avons pris un verre ensemble pour faire connaissance et voir si nous pourrions nous entendre. J'avais des règles préalables, pas d'échangisme. Je voulais bien que Monsieur me fesse et que Jimmy fesse Caroline mais le sexe niet. Ils étaient ok avec l'idée et nous ont invités hier, chez eux, à la campagne (autrement dit un endroit tranquille) pour le déjeuner et l'après midi.

Nous étions comme deux couples d'amis. Puis, voyant que personne ne rentrait dans le jeu, j'ai volontairement envoyé quelques vanes à Auguste en étant d'une grande insolence.

"dis moi, Hermione, tu n'es pas chez toi ici, tu dois te montrer polie" me lance Jimmy. "tu veux que je te fesse devant tout le monde?"

J'ai rougi et baissé les yeux.

Le discussion reprend à table et je me suis calmée un temps. Caroline est venue m'aider à titiller les garçons et c'est plusieurs menaces de fessée que nous avons reçues toutes les deux.
Caroline et moi sommes allées à la cuisine pour aller chercher le reste du repas et quand nous sommes revenues, je me suis payée la tête d'Auguste qui venait de se rétamer. (il ne s'est pas fait mal, juste son orgueil)
J'ai pouffé de rire et cela a suffi pour qu'il se relève, m'attrape par le bras, prenne une chaise et me bascule sur ces genoux

"je suis désolé Jimmy, mais l'insolence est séverement punie ici!"

"mais fais donc, pour une fois  que ce n'est pas moi qui m'use les mains"

mes fesses ont eu chaud tout de suite

Contrairement aux fessées que je reçois de Jimmy, qui est mon compagnon, je ne ressentais pas de désir et d'amour mais je me suis sentie vraiment punie comme une sale gamine. Après deux dizaines de claques sur le pantalon, il m'a relevé et baisser le pantalon pour me remettre sur ses genoux.

Il fesse sévère, je hurle mais rien n'y fait. Jimmy dit à Caroline que si jamais elle avait des velleités d'insolence, de bien réfléchir car il ferait la même chose avec elle si nécessaire.

Mes fesses me cuisent et je pleure de douleur, de honte et de repentance. Ma punition terminée j'ai pu remonter ma culotte et mon pantalon, et nous avons pris le repas...

Il y en a eu d'autres mais je les garde pour plus tard

Je ne sais pas si nous recommencerons mais la fessée d'Auguste entre au Panthéon des fessées à la main que j'ai reçu à ce jour.  Quand nous nous sommes couchés le soir, Jimmy m'a même passé de la crème et massé les fesses pour me réconforter! mais c'était pas mal comme expérience.

samedi 28 septembre 2013

la fessée disciplinaire

Alain m'a fait remarquer récemment que je recevais pas mal de fessées et que je devais avoir des fesses dures.
Oui, depuis que Jimmy est arrivé dans ma vie, je suis souvent fessée soit par jeu, soit parce que je me soumets à sa discipline.
Je l'ai demandé car j'en ai besoin.
Autant je suis très douée dans mon boulot mais je suis une championne de la procrastination à la maison et j'ai besoin d'un cadre. Je fume trop, je sors trop avec mes copines etc...

Je ne lui suis pas soumise (à lui ) pour autant, mais après en avoir longuement discuté avec lui, j'accepte de me faire fesser pour mes incartades quotidiennes.

L'idée de la fessée disciplinaire me plait (je ne préconise pas sur les enfants, jamais) mais entre adultes consentants, je pense que, pour celles qui sont comme moi, une bonne façon de se recadrer.

Jimmy est bienveillant et aimant mais quand je mérite une déculottée, il est intransigeant.
Une fessée doit bien sur faire mal pour être efficace, mais il n'y a jamais de violence.
Quand je dois être sévèrement punie, la brosse ou la ceinture viennent completer la fessée manuelle et je pleure, je supplie mais j'accepte ma punition quand même.

Souvent, il me demande de me déculotter moi-même car il estime que cela me rend plus consciente de ce que je mérite et de ce fait, je suis dans l'acceptation que bêtise commise= fessée cul nu et toutes les fessées que je reçois sont soit méritées soit demandées. Mais je n'ai jamais été punie injustement.

Et puis, être ensuite le nez au mur, culotte aux cuisses ou aux chevilles, fesses rouges exposées, me fait réfléchir au conséquences de mes bêtises et de ma désobeissance.

Après bien sur, j'aime aussi qu'il me donne une fessée en guise de préliminaire, mais là on est sur un autre sujet... ;)

jeudi 26 septembre 2013

fouet maison

 Jimmy a posé quelques jours pour passer un peu de temps avec moi car je traverse une période difficile. Il est adorable.
Comme je l'ai raconté dans mon dernier post, mes soucis ne l'empêchent en rien de me flanquer les fessées que je mérite et sa présence ici quelques jours signifie que mon postérieur sera très souvent rouge.
Cette petite fouine a mis la main sur un objet que je gardais pas nostalgie mais que je cachais pour ne pas le recevoir sur mes fesses. Il s'agit d'une espèce de ceinture pliée en deux et serrée par un peu de gros scotch noir qui, prend la forme d'un manche.
Ce petit objet, qui fait particulièrement mal car très cinglant, est tombé lorsque j'ai tiré des draps d'une étagère de mon armoire.
Evidemment, il a topé tout de suite et m'a demandé ce que c'était.
Je lui ai expliqué que Stéphane (mon fesseur temporaire avec qui on avait organisé ma fessée entre copines) l'avait fabriqué pour me l'administrer pour les grosses punitions. Je devais aller le chercher et m'allonger sur le lit afin de recevoir, non sans avoir une fessée sur les genoux avant, un nombre de coups qu'il décidait selon la gravité de ma faute.

Jimmy s'est faché parce que je ne lui ai pas montré cette ceinture et a boudé un peu.

Alors, de mon propre chef, je lui ai tendu, ai baissé ma culotte et lui ai dit qu'il pouvait, s'il estimait que je le méritais me fouetter avec. Et là il m'a scotchée.

"remonte ta culotte pour l'instant, c'est moi qui vais baisser la mienne et tu vas m'en donner 5 coups. si je dois te punir avec ça, je dois savoir ce que ça fait"

je suis restée bouche bée. je n'allais pas le fesser quand même?

eh ben si.

Il a convenu que cela faisait mal mais que cela lui servirait certeinement dans ma discipline future. J'ai ordre de le laisser en vue quand il est là, comme ça je sais à quoi m'attendre si je ne suis pas obéissante.
Je sais ce que cela fait, un jour Stephane me l'a administré sans fessée de préchauffage. J'ai eu des stries rouges sur les fesses pendant quelques temps.

une fessée pour l'apéro

il est vrai qu'en ce moment, je ne suis pas à prendre avec des pincettes. Je suis malmenée par les aléas de la vie ce qui fait que je suis un peu sèche dans ma façon de parler.

Bien qu'il sache que ce comportement soit en direct lien avec le stress que j'éprouve en ce moment, Jimmy a souhaité me rappeler que ce comportement n'est pas acceptable. Et il me l'a rappelé hier soir en me fessant bien comme il faut, cul nu, sur ma terrasse.

Alors que j'étais dans la cuisine en train de nous préparer un petit apéro dinatoire, il m'a "convoquée" sur la terrasse où il était assis à profiter du beau temps

" tu sais, je pense que tu as besoin d'un bon recadrage. tu es très chiante en ce moment. et bien que je comprennes pourquoi, je pense que tu dépasses un peu les limites. Alors tu vas baisser ton legging et ta culotte et tu vas venir t'allonger sur mes genoux. Tu verras, ça va te faire le plus grand bien"

Le pire, c'est que je pense qu'il a raison. Quoi de mieux qu'une bonne fessée pour deculpabiliser et destresser? J'ai obéi et baissé le tout jusqu'à mes genoux, j'ai relévé ma tunique et lui ai donné mon postérieur à claquer.

J'ai reçu une fessée ni trop sévère, ni pas assez. Il fessait avec un bon rythme, de quoi me chauffer le derrière et me faire lqcher prise en pleurant. Après 5 bonnes minutes de ce traitement de choc, il m'a relevé et m'a ordonné d'enlever mon legging et ma culotte pour ne garder que ma tunique.

Pas de piquet hier soir, mais j'ai pris l'apéro en tunique, cul nu.

Je l'avais méritée et elle m'a fait le plus grand bien, il avait raison.

mercredi 18 septembre 2013

bon la France ok! les Belges, why not! mais les autres... merci les expats!


pas de fumée, sans feu... aux fesses

"bonsoir Hermione,
j'espère que toi et tes ravissantes fesses vous êtes remises de la fessée méritée, attendue et reçue!!!
bises
Alain"

eh bien oui, mon cher Alain, je l'ai méritée et bel et bien reçue cette fessée mardi soir pour avoir désobéi à Jimmy.

Il m'avait prévenue que pour n'avoir pas fait la totalité de mes lignes et pour avoir fumé un paquet de cigarettes lors d'une sortie (c'est une deal entre nous, je souhaite arrêter de fumer mais n'ai aucune volonté, il me faut donc une "motivation") je serais fessée séverement, à la main et à la brosse. Et il a tenu sa promesse.

Il m'a fait attendre, je suis rentrée chez moi et est attendu nerveusement que l'interphone sonne.  Pour essayer de diminuer la punition, j'ai fini mes lignes en l'attendant. A son arrivée, il m'a felicité de mon retour à la raison, mais m'a dit que cela ne m'éviterais pas la fessée que je savais mériter. 

Il m'avait ordonné de tout "préparer" J'avais donc sorti la brosse en bois et l'avais posé sur la table basse du salon. 
Il m'a semonné sur mon manque d'implication à propos de mon désir d'arrêter de fumer et s'est assis sur le canapé.  Evidemment, je l'avais testé en lui désobeissant, sachant pertinemment quel en serait le résultat. 
C'est pour cela que je me suis allongée docilement sur ses genoux, en lui présentant mon postérieur pour qu'il puisse accomplir sa tache. 
Sans dire un mot, il a relevé ma robe, et, à ma grande surprise, a baissé ma culotte tout de suite. 
"je vais d'abord te punir pour les lignes par une bonne fessée à mains nues. Ensuite, tu iras t'asseoir cul  nu sur une chaise à table, et tu me referas tes lignes en double, pour ne pas les avoir fait la première fois dans le temps qui t'était imparti. Ensuite, tu recevras 4 coups de brosses pour chaque cigarette fumée (un paquet, 20 cigarettes, donc 80 coups de brosse) tu as compris?"

Mon estomac s'est noué. "Oui, j'ai compris" frémissant, non pas à l'idée de la fessée à mains nues mais de la brosse que je hais au plus haut point.

Puis il a commencé. Ce soir, pas d'échauffement, pas de caresses entre les rafales pour apaiser mon fessier. les claques tombent fermement et il ne fait aucune concession.  
"va faire tes lignes"
Je me relève, portant machinalement mes mains sur mes fesses endolories et vais m'asseoir pour écrire ma punition

20 minutes plus tard et le poignet douloureux, je lui ai tendu la feuille.

"bien me dit il, maintenant, tu connais la suite"

"noooon, s'il te plait, j'ai compris, je ne recommencerais pas"

"tu sais très bien que si je ne te punis pas, tu recommenceras"

Il a raison en plus. 

Et je suis retournée, fesses à l'air, m'allonger sur ses genoux. 

Dieu merci, il n'est pas de ceux qui font compter. Il y va par rafales de 4, rapides. La brosse, ça fait horriblement mal. Entre rafales, il me sermonne sur les dangers du tabac et recommence, jusqu'à 80. A la fin, je suis en larmes, car la douleur est énorme. Mes fesses brûlent, piquent et quand je me relève, je sautille presque tellement j'ai mal. 

Evidemment, j'ai été envoyée au coin directement après, pour une dizaine de minutes. 

Quand la punition a été terminée, j'ai du prendre l'engagement de ne pas recommencer. j'ai le droit de fumer de temps en temps mais pas autant et certainement pas en l'espace d'une soirée, sous peine de recevoir une autre magistrale fessée. 

Croyez le ou pas, on est jeudi et je n'ai pas fumé une seule cigarette depuis. 

Ptête bien que ça va marcher c'te affaire ;) 


lundi 16 septembre 2013

gloups

SMS de Jimmy ce matin, qui sera de retour chez moi, ce soir.

"tu peux d'ors et déjà t'inquiéter parce que tu vas être sévèrement fessée ce soir"

(je n'ai fait qu'un quart de mes 200 lignes et ai fumé tout un paquet de cigarettes vendredi soir lors d'une soirée entre copains)

je lui ai répondu un laconique et insolent "pfff"

"très bien tu le prend comme ça. je vais baisser ta culotte, te mettre sur mes genoux et t'administer une bonne et très longue fessée. Ensuite, on passera à la brosse et tu auras de la chance si tu ne reçois pas ta fessée sur la terrasse" (je n'ai pas de vis à vis dieu merci, mais le son des claques sur mes fesses n''est pas trop ce que j'ai envie de partager avec les voisins)

je n'aurais peut être pas du lui répondre en fait.....




dimanche 15 septembre 2013

une fessée pour Catherine (récit d'Alain)


Je ne publierais pas tous les récits qu'Alain m'envoie, parceque, ça reste mon blog, mais je trouve qu'il a beaucoup de talent pour narrer les mésaventures des fesses de ses copines alors j'en partagerais de temps en temps ;) 



Pour une fois que ce ne fut pas Sylvie qui paria et perdit, ce fut Catherine, une collègue qui elle aussi joua à « qui perd gagne » et gagna une bonne fessée …
Catherine L.., fut ma collaboratrice de 1989 à 1993, une ravissante blonde aux formes pulpeuses, mais si elle passait des marchés fructueux pour la société où tous deux travaillions, la rédaction de ses devis et leur suivi aussi, laissaient parfois à désirer, si bien qu’à force de lui en faire la remarque, elle me lança ce défit :

C : « à croire que je mériterais de temps en temps une fessée pour mes étourderies !»

depuis ces paroles, la fessée revenait de temps à autre dans nos conversations et l’éventualité d’en recevoir une, n’effrayait pas la ravissante Catherine qui, avec une bonne paire de fesses potelées comme pouvait en témoigner le tissu tendu de ses jupes, avait bien de quoi l’amortir, même éventuellement jupe retroussée, à ses dires, car si j’y arrivais, je n’en perdrais pas la vue précisait-elle en éclatant de rire !!!

C : « avec mes jupes moulantes, je te mets au défit de me fesser jupe retroussée ! »

si je gagnais, Catherine serait fessée et si je perdais, je devais lui offrir une glace aux cerises ...
quelques jours après la reprise des vacances de l’été 1991, Catherine au cours du déjeuner me rappela notre enjeu, regrettant de n’avoir pu manger une glace ... mais ni elle, ni moi, n’avions gagné ou perdu le pari … sa réponse m’étonna car elle suggéra que puisqu’il n’y avait ni vainqueur ni perdant, tout le monde avait donc gagné … elle recevrait donc la fessée, une bonne fessée classique, jupe retroussée et dégusterait ensuite sa glace pendant la pause de midi ... le lendemain, nous décidâmes donc de nous retrouver dans la salle des archives, une fois tous nos collègues sortis pour déjeuner … à midi, une fois tout le personnel parti, je montais aux archives où Catherine m’y attendait ... ces archives occupaient une grande pièce sans fenêtres que divisaient plusieurs rangées d’étagères remplies de classeurs et de boîtes à archives ... une fois tous deux à l’intérieur, Catherine verrouilla la porte, derrière nous :

C : « Je veux bien que nous rigolions tous les deux, mais je ne veux pas en faire profiter tout le monde, alors jure-moi que tu n’en parleras à personne »

je n’en avais nullement l’intention et lui promettais un silence tombal … pour l’occasion Catherine s’était vêtue de façon classique : chemisier clair, jupe foncée à plis, collant chair opaque et escarpins noirs …

C : « et tu n’as pas encore tout vu !!! »

je m’assis sur l’unique chaise disposée au milieu des étagères et Catherine s’avança vers moi, mains croisées dans le dos, un sourire coquin aux lèvres …
C : « allez … fesse-moi … quand cela suffira, je te le dirai … une bonne fessée jupe retroussée !!! »
sans perdre une minute, Catherine s’installa et s’allongea à plat ventre en travers de mes cuisses se tenant d’une main à l’un des pieds de la chaise et de l’autre à l’une de mes jambes de pantalon … la ceinturant fermement par la taille de mon bras gauche, je pris le temps de retrousser lentement la jupe de cette « effrontée », glissant ma main droite le long de ses mollets, jusqu’à la jointure de ses genoux, puis passant ma main sous sa jupe, je remontais le long de ses cuisses, jusqu’aux hanches et rabattant le tissu au dessus de la cambrure de ses reins, j’eus l’agréable surprise de constater que Catherine portait certes un collant bien opaque, sans démarcation et que sous ce collant, elle ne portait pas la moindre petite culotte et malgré l’opacité du collant  ses fesses potelées et nues, ainsi que la fente qui les séparait comme un fruit bien mûr, apparaissaient comme en plein jour ; elle éclata alors de rire en m’annonçant qu’elle m’avait bien eu et regrettait que si moi je pouvais plus que deviner ses fesses, elle était un peu déçue de ne pas voir ma tête !!!

A : « je trouve bien dévergondée et je vais tout faire pour ne pas te décevoir !!! »
pour toute réponse, je vis ses fesses se contracter sous le nylon du collant et je commençais à la fesser énergiquement, d’une fesse à l’autre, histoire pour ne pas faire de jalouses, les claques données par la paume de ma main droite rebondissant d’un globe à l’autre, les claquant à cadence rapide, ma main tombant à plat sur le derrière tendu vers moi, la trace de mes cinq doigts s’imprimant sur la fesse qui venait d’être corrigée et malgré le collant opaque, je voyais leur couleur rougir à vue d’œil !!!
ma main continua à tomber en cadence, d’une fesse sur l’autre … entre chaque claque, son derrière de Catherine, contracté dès les premières claques, se tendait vers la claque suivante et la main qui le corrigeait, qui en tombant bien à plat sur le tissu tendu, le faisait tressauter  … le bruit sec des claques résonnait dans la pièce close et pour chaque claque donnée et reçue, Catherine faisait un commentaire « aïe … celle la elle fait mal …ouille … mais ça chauffe » tout en repliant en bloc ses deux jambes sur ses cuisses … mais au fil des minutes et des claques sur une croupe de plus en plus rouge, Catherine cessa ses commentaires, la cadence de la fessée s’accélérant, je l’imaginais, serrant les dents, car je la voyais serrer les fesses sous le collant depuis quelques minutes et elle commençait à battre l’air des jambes dans tous les, perdant même ses escarpins, se tortillant en espérant pouvoir échapper aux claques, ses jambes, ses fesses et sa queue de cheval battant l’air en cadence … la rougeur des fesses tranchant sur l’opacité du collant gainant cuisses et jambes !!! soudain, elle cria grâce :
C : « Arrête s’il te plaît, arrête, je n’en peux plus, mes fesses sont en feu !!! »
Je respectais la règle du jeu, je m’arrêtais et Catherine ne perdit pas de temps pour se relever et après avoir récupéré et remis ses chaussures, elle me fit face, se frottant énergiquement les fesses à deux mains sous la jupe … j’avais gagné mon pari, c’était à son tour d’avoir le sien et de nous rendre au restaurant pour qu’elle y déguste une glace aux griottes, dont ses fesses devaient avoir, je suppose, la même couleur !!!

mercredi 11 septembre 2013

pour être en bonne santé, recevez une fessée tous les 15 jours

J'en avais bien besoin.

 En ce moment, je suis très stressée par beaucoup de choses. Pression au boulot, un membre de ma famille malade, un déménagement etc...
De ce fait, je suis un peu odieuse et impatiente avec mon équipe.
Un homme, moyenne quarantaine, que nous allons appeler Jimmy, et qui m'envoie des mails régulièrement mais qui ne souhaite pas être cité sur le blog, m'a proposé de me donner une bonne fessée pour me destresser.

Vous devez vous dire que je fais ça régulièrement, vu que Julien était là il y a peu de temps mais non. J'accorde beaucoup d'importance aux échanges email avant de rencontrer un homme qui va me mettre sur ses genoux. Jimmy, il habite super loin, mais la garde de sa fille le fait passer deux fois par mois dans ma région. Nous avons donc convenu qu'il serait un fesseur régulier et idéal pour moi.

Comme je crois beaucoup aux vertus destressantes de la déculottée, j'ai accepté sa proposition de passage à l'acte.

Nous nous sommes rencontrés autour d'un café pour discuter. Je lui avais dit au préalable que si la conversation n'était pas fructueuse, il ne se passerait rien et qu'il serait venu pour rien. Un fesseur avec qui je conversais il y a peu de temps, m'avait clairement fait comprendre qu'il ne viendrait pas pour rien jusqu'à chez moi. Eh bien moi, je suis désolée, il doit y avoir rencontre au préalable avec la possibilité de dire non! pas négotiable.

Bref, Jimmy a compris les règles du jeu et n'avait rien à perdre puisque dans la région quoiqu'il en soit.

Il s'est avéré être un vrai gentil. Il ne cherche pas de relation sexuelle mais simplement à administrer des bonnes fessées bien senties aux vilaines filles indisciplinées comme moi.

 Après deux heures passées à refaire le monde (et à établir les règles du jeu) nous nous sommes dirigés vers chez moi. (lfait rarissime car je protege mon chez moi de manière assez farouche)

Une fois à la maison, il a pris les choses en main.
"Alors jeune fille, il parait qu'on a un comportement insupportable en ce moment?"

pas de réponse

"je t'écoute"

toujours rien

"très bien, tu sais ce que tu mérites?"

"------"

"je crois que tu sais" Il va s'asseoir sur une chaise et m'ordonne de venir en face de lui. (nous avions convenu pour cette première rencontre qu'il me donnerait une fessée à mains nues, déculottée mais pas d'instruments cette fois ci)

Me tenant fermement par les bras, il me sermonne sur mon comportement récent et m'annonce que, comme je m'obstine à mal me comporter, il n'avait d'autre solution que de me corriger comme il se doit, par une fessée.

Par le bras toujours, il m'allonge sur ses genoux et commence à me fesser sur mon short en jean (dieu merci, ce n'est pas un fetichiste des bas et autres petits details qui ne sont pas mon fort)
Les claques tombent, mon cul chauffe pendant quelques minutes. Il me donne ce que j'attend de lui. Il fesse, sermonne, mais en toute bienveillance.

Au bout de quelques minutes, il m'ordonne de me relever. Il déboutonne mon jean pour le baisser jusqu'aux cuisses et me réallonge sur ses genoux. Il n'attend pas et reprend de plus belle, et là ça fait semsiblement plus mal. Je mets ma main, qu'il saisit et me coince dans le dos. Punition pour ce manque de docilité 4 claques cinglantes sur les cuisses. "tu sais que tu aggraves ton cas"

je commence à chouiner de honte mais ne hurle pas pour autant. Je sais que je l'ai méritée, je l'ai demandée, maintenant je dois la prendre correctement, comme une grande.

Il me lâche le bras en m'ordonnant de m'aggripper aux barreaux de la chaise.

Je sens ses deux mains baisser ma culotte. Ca y est, je suis cul nu!

Il prend le temps de me frotter les fesses, tout en continuant à me sermonner comme une petite fille.
"je ne devrais pas être obligé de te punir comme ça. A ton age, tu n'as pas honte d'être aussi insupportable?"

 Et puis, il reprend, plus rapide, plus sévère aussi. J'en prends pour mon grade. Pour une bonne fessée, c'est une bonne fessée.

Nous avions convenu d'un mot au cas où je ne puisse pas aller au bout. Mais j'ai tenu bon, en pleurnichant, certes, mais j'ai tenu bon!

A l'issue de la fessée, il m'a attrapée par le menton et ma demandé si j'avais compris. Un timide "oui, monsieur" est sorti de ma bouche, visage rouge pivoine, yeux baissés.

"file te mettre au coin!" et m'a envoyé avec une claque aux fesses, short et culotte encore aux cuisses, me mettre le nez dans le coin de ma chambre pour ma pénitence.

Le deal maintenant, et c'est totalement nouveau pour moi, c'est que je dois tenir un carnet ou je note toutes mes incartades et qui servira de barême à ma punition bi-mensuelle. Il se réserve le droit de me faire copier des lignes et de m'envoyer au coin, cul nu, par skype pour me faire réflechir. J'ai mis un véto sur l'auto fessée, dont je ne suis pas fan, mais ai accepté les lignes et le coin. Je dois déjà copier 200 fois pour samedi "je ne dois pas procrastiner" et lui montrer par skype. Si ce n'est pas fait, je devrais aller le noter dans le carnet avec l'instruction qui lui correspond

Par exemple

Lignes non copiées ou partiellement = 10 coups de brosse
Mauvais comportement au travail = une fessée déculottée

etc...

le tout s'additionnant pour le jour de sa venue bien sûr..

J'aime assez ce nouveau jeu.  l'idée d'être suivie et encadrée ne me déplait pas.....


dimanche 8 septembre 2013

préliminaire


La fessée, comme le sexe en ce qui me concerne, nécessite de très bons préliminaires afin que le moment venu, je sois au top de ma forme.

Quand je vais être punie, j'ai besoin du sermon qui précède la punition.

Le moment qui précède la fessée est toujours fort. C'est le début de la connection entre nous. Le moment où j'accepte que je me suis mal comportée, que j'ai fait une bêtise et qu'il va y avoir une conséquence à mes transgressions.
Je me sens toute petite quand je me fais "gronder" par celui qui va ensuite m'allonger sur ses genoux et me donner la fessée que je mérite.

Parfois, je vais au coin avant la fessée, car mon fesseur estime que je dois bien intégrer que je vais être punie, et sévèrement.
Quand il m'appelle ensuite afin que je le rejoigne et subisse ma sentence, j'y vais toujours tête baissée, contrite, espérant qu'un regain de magnanimité va avoir lieu (jamais)
Puis, il me gronde, me sermonne, me prend par le bras, tout en continuant à m'engueuler, m'allonge sur ses genoux, et me sermonne encore. Je suis là, allongée, j'attends ma punition, mais lui fait durer le plaisir en continuant sa tirade.
Il prononce des mots qui me font un effet boeuf.

"tu sais ce qu'il se passe pour les sales gamines comme toi? on les déculotte et on les fesse"
" tu vas t'en souvenir"
"une bonne fessée cul nu, ça va te remettre les idées en place"

tant et si bien que quand la fessée commence, je suis à point pour la recevoir comme il se doit

mercredi 4 septembre 2013

retard

coucou tout le monde.

j'ai reçu pas mal de mails et ne peut y répondre. Les deux prochaines semaines sont rock &roll pour moi professionnellement, mais je nous vous oublies pas.. à plus ;)

dimanche 1 septembre 2013

préventive (fiction)

Il a toujours des idées saugrenues mon amoureux.
Comme son boulot l'exige souvent, il part en déplacement au quatre coins de la France assez régulièrement.
Comme il me sait un brin coquine, il s'inquiète souvent du comportement que je pourrais avoir en son absence.
Bien sûr, moi je fais l'innocente. Bien sûr que non, je ne vais pas faire la fête jusqu'à point d'heure avec mes copines. Oui, je ferais sa lessive (mais pas son repassage, faut pas déconner, je suis sa chérie, pas son larbin)
Mais lui, il a des doutes. C'est normal cela dit. La dernière fois qu'il est parti, j'étais en RTT et avais fait une soirée qui s'était finie tard. Il est arrivé le matin dans une maison qui s'était transformée en cendrier géant et une vaisselle pas faite. (une fessée plus tard, la maison était nickel)
Il m'a donc imposé une nouvelle règle.
Maintenant, avant de partir, il me donne ce qu'il appelle "une fessée préventive" (encore une bonne excuse pour martyriser mes fesses oui)
Elle est dure à décrire cette fessée. Pas punitive mais pas érotique non plus bien entendu.
Classique elle est. Allongée sur ses genoux je la reçois sur mon pantalon (ou jupe suivant le jour) puis sur la culotte et enfin cul nu. C'est quand même une bonne fessée car elle doit être là pour que je garde en tête ce qu'il va m'arriver si je dérape pendant son absence.
Arrivé à la fin de la fessée, il met un point d'honneur à me demander si j'ai bien compris ses instructions de comportement en son absence.
La dernière fois, j'ai pouffé de rire. Grave erreur, car s'en est suivi une avalanche de claques bien plus fortes et ELLES, destinées à me punir de mon insolence.
Je finis par dire que j'ai compris et je lui fais la promesse que mon comportement sera irréprochable.

Promesse jamais tenue bien entendu!

Juste une mise au point....


Et voilà maintenant, j'ai la chanson de Jackie Quartz dans la tête, vous voyez laquelle? mais si

"Juste une mise au point Sur les plus belles images de ma vie
Sur les clichés trop pâles d´une love story
Sur les tam-tams d´une femme sans alibi
Qui rêve toutes ses nuits...."

oui bon, ça va, j'étais une pré-ado dans les années 80, ça abime un peu.... ;) 

BREF! 
Je suis une cérébrale. je travaille dans le milieu culturel et suis une grosse lectrice. J'aime quand mon imagination est mise au service de mon fantasme. A défaut de le vivre régulièrement, je peux au moins prendre du plaisir à imaginer, d'où ce blog.
Depuis que je l'ai ouvert, j'ai quelques conversations par mail très interessantes,  d'autres  semblaient prometteuses au départ mais le coté sombre de la personnalité du fesseur ayant pris le dessus, se sont avérés une perte de temps.

Je suis pourtant assez claire dans mes correspondances. je réponds volontiers aux questions, en toute transparence mais je pense que certains n'ont pas compris qu'il s'agit avant tout d'un jeu, que je ne suis ni à la recherche d'un père, ni de sexe (quoique ce me soit arrivé mais cet homme là est devenu mon compagnon), ni d'un maitre. (surtout pas, le BDSM ce n'est pas mon truc DU TOUT)

J'aime être fessée mais ne suis en rien soumise à qui que ce soit. Je suis une femme indépendante avec une carrière et nullement en besoin d'hommes qui s'emmerdent dans leur vie et se sentent obligés de me dire ce que je dois faire de la mienne.

Certains mails que je reçois son hallucinants de bêtise et de prétention. Je l'ai dit dans l'intro de ce blog, je ne me prétends pas spécialiste ES Fessée comme certains sur d'autres sites. Je souhaite partager quelque chose qui m'anime c'est tout. Je ne me prends pas au sérieux et attends de même de mes interlocuteurs. La vie est trop courte pour perdre son temps avec des gens qui n'en valent pas la peine.

Par contre, j'ai aussi eu des mails supers, avec des échanges constructifs et des idées intéressantes. Je viens de publier un récit d'un homme avec qui j'ai des échanges passionnants. Merci à vous messieurs pour vos gentils compliments. (Philipe, Alain, François-Fabien, Nicolas, Jean Pierre....) D'ailleurs, je ne sais pas si c'est dû au hasard mais la plupart de mes copains de mails sont Bretons. C'est la brise marine qui vous donne des envies de fessées messieurs? 

Merci aussi à celles (et ceux) qui ont mis mon blog en lien sur le leur. 

Sur ce, je vais passer un bon dimanche ensoleillé, comme me l'a préconisé Philippe ce matin, en essayant de ne pas faire trop de bêtises!!!

Je reprendrais sur notre sujet favori à mon prochain post.

bonne après midi à tous

Sévère fessée pour fiancée peu sage (contribution d'Alain)

cette première fessée qui rendit Sylvie plus prudente, surtout en paroles, la discipline « conjugale » (alors que nous n’étions même pas encore mariés, seulement fiancés) devint rapidement un jeu entre nous ;
à la moindre faute, au moindre caprice, Sylvie se retrouvait sur mes genoux, jupe retroussée
sur ses collants et sa « petite culotte » et aussi en bas qu’elles portaient uniquement dans notre appartement !!!


un été, nous rendant par la route de Nancy à Limoges, nous disputâmes sérieusement et lorsque nous arrivâmes à l’appartement de ses parents, heureusement absents,  j’annonçais à Sylvie, qu’il avait trop longtemps qu’elle n’avait pas reçu une bonne fessée (plusieurs semaines en fait) ; les yeux dans les yeux, elle m’affirma que mes fessées ne l’impressionnaient pas du tout !!!

sans la prévenir et à sa grande surprise dans les longues minutes qui suivirent, je lui annonçais que j’allais changer les règles du jeu de suite ; avisant le canapé du salon tout proche, je m’y installais et lui ordonnais de venir de suite s’installer sur mes genoux, ce qu’elle fit sans discuter, à ma grande surprise cette fois ; une fois en place à plat ventre en travers de mes cuisses, je lui retroussais sa robe d’été, mais cette fois passais ma main sous l’élastique de sa culotte et la déculottais généreusement jusqu’à mi-cuisses ; ma chère et tendre allait connaître la fessée jupe retroussée et déculottée, « cul nu » comme une salle gamine  …


une fois en position et en tenue, le derrière à l’air et bien exposé sous mes yeux, elle ne fit aucun geste pour se dérober, mais un seul commentaire,  « oh !!! » …  je ne sais s’il était d’étonnement, de honte ou de joie …

la fessée crépita dans l’appartement, en cet été de juillet 1980, volets étaient fermés, mais fenêtre ouverte, au premier étage d’un immeuble donnant sur rue principale ; les claques crépitaient encore plus vite et plus fort sur les fesses nues qui dès le début se contractèrent fermement pour au bout de longues minutes devenir moins fermes et tressauter dans tous les sens ; battant des jambes, mais visage enfui dans les coussins du canapé que Sylvie par orgueil féminin devait certainement mordre à pleine dents pour contenir la douleur d’un derrière de plus en plus rouge et brûlant  !!!

enfin je décidais de cesser la fessée et je vis ce derrière laiteux qui jusqu’à présent rougissait, devenir écarlate … et y posant la main bien à plat je le sentis brûlant !!!

Sylvie resta ainsi de longues minutes,  fesses à l’air dans la chaleur de l’été et de la fessée…

les vacances d’été commençaient pour Sylvie avec un sérieux coup de soleil sur les fesses !!!

dimanche 25 août 2013

trouvé sur le net.... j'aime le jeu de l'oie



les vertus thérapeutiques d'une bonne fessée

je me répète mais qu'est ce que ça fait du bien une bonne fessée.
vous le savez Julien, un copain internet rencontré pour de vrai la semaine dernière après de longs mois d'échanges de mail, a rattrapé son retard en me flanquant quelques bonnes fessées cette semaine (2 aujourd'hui) Elles ont toutes été le résultat d'un jeu. Méritées ou pas, cuisantes ou pas, nous ne nous sommes pas trop pris au sérieux et la semaine n'en a été que plus fun.

A midi nous sommes partis dans une grande discussion autour du déjeuner sur sa terrasse au sujet des vertus thérapeutiques de la déculottée. Je suis très d'accord pour dire qu'une bonne fessée punitive, bien administrée, a de grands pouvoirs guérisseurs.
Que cela ai été avec mon ex ou avec mes fesseurs occasionnels, une fois cul nu, sur les genoux, me faisant sermonner gentimment, et recevant des claques de bonne intensité, j'ai toujours ressenti un grand apaisement après.
Eh oui, messieurs les fesseurs, vous êtes des thérapeutes.
Notre discussion a tourné autour de vastes sujets et j'ai pu confier à Julien des culpabilités que je ressentais pour avoir fait ci ou ça dans mon enfance, mais aussi dans ma vie d'adulte que je porte encore comme un fardeau. J'ai une grande facilité à culpabiliser et Julien m'a grondé à ce sujet en me disant que je ne pouvais pas me rendre malade pour autant de choses.
Il m'a ensuite proposé de me fesser de manière thérapeutique. J'ai d'abord éclaté de rire en lui disant que toute la semaine il ne m'avait pas demandé ma permission pour me claquer le derrière mais il a insisté en me disant que cette fessée là serait différente des autres. J'aurais mal, certes, mais je me sentirais mieux après.
Pas de coin, pas d'instruments, juste mes fesses et sa main.
Nous sommes allés dans la chambre, il s'est assis sur le lit, m'a donné un oreiller pour que je m'allonge comfortablement.
Il a doucement relevé ma robe et baissé ma culotte. Puis il a commencé.

Les claques étaient modérées mais assez espacées entre elles. Il me grondait gentimment en même temps. La fessée à duré 25 minutes, entrecoupée de massages des fesses pour atténuer la douleur. Délicieuse douleur indescriptible, une douleur qui fait du bien, si je puis dire. Au bout de 25 minutes, quand il s'est arrêté, je suis restée allongée sur ses genoux, avec un sentiment de plénitude exacerbé. Moi qui avait eu un petit moral récemment, j'ai récupéré une certaine joie de vivre.
Quand je le suis relevée, je me suis blottie dans ses bras pour le remercier tellement cela m'avait fait du bien, comme un massage en institut.

Je pourrais presque en reprendre une autre tellement c'était bon

semaine chaude

Heureusement qu'il se rentre à Paris bientôt. J'ai pris assez de fessées pour les 6 mois à venir.
Mes fesses cuisent encore de la dernière qu'il vient de me donner il y a une heure. (pour m'être levée tard et ne pas avoir été prête pour allez faire le marché pour le déjeuner)

Il est arrivé sur moi et sans dire un mot m'a allongé sur ses genoux, baissé ma culotte et donné une cuisante claquée tout en m'engueulant que je n'étais qu'une sale gamine irrespectueuse. j'ai pleurniché car aujourd'hui je suis un peu plus sensible que d'habitude je ne sais pas pourquoi, mais il n'a rien écouté à mes supplications et m'a corrigée bien comme il faut.

5 mn au coin, pour la forme et j'ai eu le droit de m'habiller pour aller au marché.

Au menu, de l'espadon à la plancha... bonne journée ;)

mardi 20 août 2013

embuscade

Le petit malin, mon copain Parisien (Julien) m'a proposé, sachant que je ne travaillais pas aujourd'hui de venir passer la journée dans la maison de ses parents qu'ils occupe en vacances pendant leur absence.

Ayant adoré la fessée qu'il m'a donné hier, j'ai dis oui tout de suite profitant d'avoir un fesseur à proximité, on ne sait pas combien de temps cela va durer. En gros, je prends toutes les fessées que je peux avant qu'il ne s'en aille.

J'ai donc passé l'après midi à me prelasser au bord d'une piscine dans une sublime villa.

Enfin prélassé, j'ai passé pas mal de temps au coin ou sur les genoux de Julien bien sur.

Après midi plutot coquine. J'ai provoqué un peu, pris quelques claques méritées.

Mais le petit Julien, il sait y faire pour me punir. Il sait que je ne suis pas patiente au coin, il m'y a donc envoyée une demie heure pendant qu'il se baignait suite à petite insolence.
Je me suis retrouvée le nez contre un arbre à proximité de la piscine.
Comme je gigotais et que je chouinais que je ne voulais pas rester là, j'ai du baisser le bas de mon maillot et y rester 1/4h supplémentaire!

Quand enfin j'ai été autorisée à me reculotter et à venir me baigner, nous avons discuté de choses et je lui ai parlé du départ de feu que j'avais causé petite sans jamais avoir été punie pour cela.
"et tu veux que je le fasse?"

"ben, ça mérite une très grosse fessée une betise pareille"
"mais ne t'inquiètes pas, ça je sais faire, quand nous sortirons de l'eau, tu vas recevoir ce que tu mérites."

Quand nous sommes sortis de l'eau, il m'a dit d'aller chercher une chaise et de la poser au milieu de la terrasse. Je me suis éxecutée en vérifiant bien le vis à vis des voisins (la déculottée publique, ce n'est pas pour tout de suite, voire jamais)

Une fois la chaise posée, il s'est assis dessus m'a attrapé le bras et allongé sur ses genoux. Je sentais son maillot mouillé, rafraichissant avant que mon dernière ne me cuise.

Il a baissé mon bas de maillot (il fesse à cul nu directement) jusqu'en bas, tant et si bien qu'il est tombé par terre et à commencé sa partition.  Il est allé moins vite qu'hier, laissant chaque claque porter ses fruits. Une fessées les fesses mouillées, ça pique bien!

Clac! ouch! Clac! aie! Clac! Clac, je ne compte pas mais les claques sont assez fortes. Il me dit que mes fesses rougissent à vu d'oeil (jte crois)
Puis il a accéléré le tempo. Ouille, je gémis, gigote, ça fait mal!
Il est plus sévère qu'hier et en même temps qu'il me fesse il me sermonne! "tu n'as pas réfléchis que c'était dangereux de jouer avec le feu? et que tu aurais pu mettre le feu à la maison?"

"j'ai pas fait exprèèès, aiiie, je recommencerais plus promis"
"ah ça je te garantie que non"

et j'ai reçu une looongue correction sur ses genoux.

Séjour au coin, sans bas de maillot resté à terre. Il rentre dans la maison et ressort quelques instants plus tard avec un martinet de bazar, vieux, jaune, que je suspecte à peut être servi sur ces propres fesses enfant.

Viens ici et mets tes mains sur la chaise.
Tu vas recevoir dix coups de martinet pour être sur que la leçon est bien comprise.

Et il m'a fouetté! Dix fois avant de me renvoyer au coin.

Tel que je vous raconte ceci, (mon autre punition était de raconter ceci sur le blog, par contre, je ne mettrais pas de photos de moi, que je préfère garder intimes)  cela fait 3 heures que j'ai reçu cette correction magistrale et il vient de m'annoncer que j'en avais gagné une autre (moins sévère mais bon, j'ai déjà les fesses endolories) pour avoir tardé à le faire.

Je vais donc poser l'ordi, et aller me mettre au coin en attendant la dernière déculottée de la soirée avant de rentrer chez moi! je vous raconterais... un autre jour

amour de vacances?

ça fait du bien une bonne fessée!
Je m'explique!

Depuis 1 an à peu près j'échange des mails avec un homme, parisien, mon age avec qui je rigole beaucoup!
Il y a 10 jours de cela, je reçois un mail me disant "eh, je serais en vacances vers chez toi, si tu veux, je prends une chambre d'hôtel dans ta ville et je te fesse!

moi: "mais carrément" (gros besoin d'une déculottée depuis quelques temps, je saute sur l'occaz)

Bref, il est arrivé ce week end et a pris une chambre hier soir.

Nous nous sommes retrouvés sur une terrasse, cocktails, tapas, on a bien rigolé (j'ai une vraie relation d'amitié avec lui même si jusqu'à présent c'était par mail)
 Puis nous sommes allés à l'hotel.

Il est rentré dans le jeu de suite. J'ai du énumérer mes bêtises récentes (dont une valait bien une bonne correction)
"est ce que tu as mérité une fessée?"
moi: "oui monsieur" (à peine audible)

"viens ici"

je me suis allongé sur ses genoux et à mon grand dam, il a alors baissé ma culotte tout de suite après avoir relevé ma petite robe.

"chez moi les fessées c'est cul nu d'entrée" me dit il. (jle sens pas d'un coup)
et il m'a fessée, fessée, fessée... ni trop fort, ni trop doux. j'ai reçu une bonne, très bonne fessée. Je ne sais pas combien de temps elle a duré mais elle m'a prodigué du plaisir et m'a servi de punition en même temps.

Je suis allée au coin, fesses nues, rouges et exposées. Mais il n'avait pas fini. Après 5 mn de coin (il sait que je ne suis pas patiente) il m'a rappelé pour que je me rallonge sur ces genoux. Dans ses mains, une brosse à cheveux en bois (il sait aussi que je déteste cela)

"noooooooooooon, pas la brosse" je prends mes fesses dans mes mains comme si ça allait changer quelque chose.
"combien de coups de brosse tu as mérité pour ton incartade avec le trésor public?" (oui, j'ai fait une grosse boulette avec les impots)

Frondeuse "aucune"

"t'es sure? moi je crois que 50 vont te faire du bien"
"non s'il te plait, redonne moi une fessée mais pas la brosse"
"75"
"noooon, s'il te plait"
"très bien on arrondi à 100"
(là je me dis, arrête la casse!)

je prends mon courage à deux mains et vais me repositionner sur ses genoux.

et 100 coups j'ai reçu, qui m'ont tiré des larmes et m'ont bien piqué.

Quand je me suis relevée, je pensais devoir aller au coin, mais il ne me l'a pas demandé, il a caressé mes fesses pour les apaiser et m'a pris dans ses bras.

On se revoit ce soir ;)