i gotta feeling

J'adore les sensations procurées par une séance de punition. Que ce soit quand spontanément, de colère il me bascule sous son bras, ou quand méthodiquement, et calmement il me dit qu'il va me fesser pour me punir pour mon bien. (je préfère quand même la seconde option)

Je sais quand j'ai fait une bêtise. Parfois, c'est volontaire, parfois non, mais le résultat est le même et je sais que mes fesses vont être bien chauffées en conséquence. J'accepte cet état de fait parce qu'il me procure des sensations de plaisir autant que parce que cela m'aide à corriger mes défauts. 

J'aime quand il prend le temps de me déculotter tout en me sermonant. j'ai des papillons dans le ventre d'appréhension mélangée à de l'excitation.  Quand il baisse mon pantalon, ou lève ma jupe; saisi l'elastique de ma culotte pour la baisser jusqu'au genou, ou, si je n'est vraiment pas été sage, jusqu'aux chevilles. Cela est bien sûr valable quand il me fesse à la main car les sensations procurées par un instrument sont tout autres.

La fessée à la main me fait me sentir "aimée" (même si il sait me corriger avec sa main toute seule ne vous inquietez pas) certainement car le contact physique entre nous deux est plus fort et parce qu'il est plus indulgent pour ces fessées là. 

La brosse, la ceinture et le martinet me font sentir "punie" et notre relation est plus "froide", il est plus dominant et plus sévère dans ses coups sur mon fessier. Dans ce cas là, pas de plaisir, juste une punition méritée pour mauvais comportement. Sa colère est réelle et la punition à la hauteur de la faute. Je sais qu'il m'aime aussi dans ses moments là, mais je ne perds pas de vue que je suis punie et que ce n'est pas négotiable.


Après avoir été fessées sur ses genoux, je reste souvent quelques instants allongée là, avant de me relever pour aller prendre place au coin. Des fois, il me taquine " tu en veux encore?" mais en réalité, si je reste là, c'est parce que je reprend mes esprits et que j'aime quand il me masse les fesses dans un élan d'indulgence.

Seulement après cela, je peux aller pleurnicher au coin le temps que le feu sur mes fesses s'apaise.