samedi 19 octobre 2013

le prix du mensonge


Après une journée d’assignation à résidence (je n’ai pas été bosser car fatiguée donc pas question de sortie) Jimmy m’a appelé vers 18h pour me dire qu’il était à 5mn de la maison et que je devais me préparer à ma punition.
Dans ces cas là, je dois baisser pantalon et culotte jusqu’aux chevilles, et me mettre au coin cul nu, les mains sur la tête en attendant qu’il rentre. Et pas n’importe quel coin. Celui qui se trouve directement devant l’entrée, comme ça il y a un risque quand il ouvre la porte, que si un voisin passe, il me voit déculottée le nez au mur. Jimmy fait attention à ce que cela n’arrive pas je le sais, mais c’est une partie de la punition de penser que je peux être vue comme ça.

Je l’ai entendu refermer la porte derrière lui, poser ses affaires et me dire « alors jeune fille,  on a un compte à régler il me semble »

Il est allé dans la chambre et m’a ordonné de l’y rejoindre.
Là, comme d’habitude quand la fessée est éducative, il me prend les deux mains, me force à le regarder et à lui dire pourquoi je vais être punie.
Aujourd’hui la bêtise est grave car j’ai menti.

Il me dit  comprendre pourquoi j’ai fait cela mais que cela n’excuse pas pour autant mon mensonge.

 Il  a raison. 

Il m’avait annoncé au téléphone dans la journée, une fessée plus le martinet. Il a changé d’avis, trouvant que le martinet c’était un peu too much pour cette occasion et qu’il voyait bien que j’étais désolée.

Il m’a ordonné d’oter mon pantalon et ma culotte puis, il m’a allongée sur ces genoux, buste sur le lit et a commencé la fessée qui  a duré dix bonnes minutes, entrecoupées de caresses d’apaisement et de sermons. J’étais dans l’émotion, de lui avoir menti et d’être punie donc j’ai pleuré rapidement. 
Il a été intransigeant et m’a fessée correctement. J’ai reçu quelques rafales bien douloureuses lors de cette fessée qui m’a pourtant fait du bien.


Pour demain, je dois faire une petite rédaction sur le sens de ma punition et de la leçon que j’en tire. Ce soir, je suis consignée dans ma chambre non pour la privation (la preuve, il me laisse mon ordinateur et internet) mais pour que je puisse réfléchir.

Même punie, je me sens incroyablement aimée.

2 commentaires:

  1. J'aime beaucoup ce récit! Cette punition dans le temps va parfaitement avec mes fantasmes. Entre l'attente, la punition ritualisée, la fessée qui garde beaucoup de douceur et la suite dans la journée de consigne, tout y est... Plus qu'à publier la rédaction!

    Simon

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    1. merci Simon. Je sais que tu connais bien ce sentiment de plénitude qui suit la punition méritée et reçue. j'adore votre blog à tous les deux aussi ;)

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